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Mon doux, mon tendre ami
dans la voie lactée
une étoile porte ton nom
cet espace virtuel dédié
à ton oeuvre, à ton art
ne saura en rien remplacer
ta douceur, ta générosité
cependant que l'aube
aurifère du froid t'auréole
et qu'à nos regards
s'estompe ton image
ton souvenir demeure
à jamais gravé dans nos coeurs.
...
homme il fut grand
hommes! souvenez-vous de lui
(octobre 2001) Pier de Lune
Hommage d'amis -
(texte ou poème (courrier)
"Ami Bernard, tu fais partie de la
grande joie que j'ai éprouvée en vous retrouvant tous à St Jean du Gard et à
Caderle, Jacques, Marie, Mireille, Jordy, Rob, toi et les autres. Tu as
décidé de quitter notre cercle mais je n'oublie pas ton sourire, ta
moustache et l'accent chaud de ton midi. Ne connaissant pas alors tes
talents, je ne t'ai découvert qu'après. J'envie ceux qui furent tes amis
avant. De toi, j'ai au moins eu cette photo..."
Lise(20 octobre 2001)
Voyage en terre de mémoire vive....Mon ami, j'aurais aimé pouvoir une fois au moins, te
serrer la main, t'embrasser la joue. Parfois on fait
plein de choses, ne fut-ce que pour dire cela:
j'aurais aimé avoir partagé avec toi dans ce
temps que tu as passé ici bas...
Florence (25 octobre 2001)
Bernard,
tu as plongé ta famille dans une immense et indescriptible douleur, mais
comme tu n'étais que douceur et gentillesse, il aura fallu que cette vie te
fasse souffrir, pour en arriver là! Cette vie, qui dans bien des domaines,
s'est acharnée contre toi ces derniers temps,et a fini par avoir raison de
ton âme de poète, de ton coeur trop fragile.
J'espère que tu as enfin trouvé la sérénité.
J'ai simplement envie de te dire que tu manques et manqueras infiniment.
Aujourd'hui, j'ai moins peur de la mort, car je sais que tu nous attends,
pour d'autres fous rires et d'autres si bons moments...alors à bientôt.
Je voudrais adresser, pour finir, ces quelques mots de Daniel Balavoine à tes
parents (tata Eliane et tonton Marceau) et à Marie-Thé, ta soeur, car je
crois que tu aurais certainement aimé leur dire:
"Père et mère soeurs et frères
Je vous aime puissamment
N'adresser aucune prière
Où que j'aille je vous attends
La poussière
Vit hors du temps.
Il faut rester dans la lumière
Dansez buvez en me berçant
Que je vous aime en m'endormant."
(Daniel Balavoine Partir avant les miens)
Ta cousine, Magali.(26 octobre, 2001)
Bernard,
Je ne vais pas te dire l'immense tristesse que nous ressentons tous et
combien tu nous manques: ça, tu le vois bien.
Je veux seulement te parler des merveilleux moments passés auprès de toi
dans le cercle de famille. Entre autre Saint Lô, le baptême d'Alexandre, te
souviens-tu? Je garde en tête tes éclats de rire, ce rire que tu savais si
bien nous communiquer. Les fables de La Fontaine que tu racontais en
"sabir", quel talent ! Tes délicieuses chansons que tu accompagnais à la
guitare; et puis, plus loin dans le temps, le souvenir d'un petit garçon
espiègle, plein de vie, attachant et curieux de tout. Ce petit garçon que
j'emmenais à la plage de Villefranche avec sa soeur et ses cousins; doux
souvenirs que je veux garder dans ma mémoire.
Ta grande sensibilité qui transpire à travers tes poêmes n'a pu supporter
les souffrances que ce monde dur, ici-bas, nous inflige. Dors en paix. Je
suis sûre que tu charmes les anges avec tes chansons et ta guitare, sans
doute les fais-tu rire avec tes histoires...
Au revoir mon fils, mon danseur de rock préféré.
A bientôt sur un petit nuage. Je t'aime tant!
Tata Jocelyne.(3 novembre 2001)
Une âme parfois
du doigt vous frôle un instant
fleur de soleil tiède
D'un presque silence
tenace à l'ourlet d'une aile
vibre un souvenir
Ailen
Oeuvres et poèmes de Bernard Flucha
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